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meilleurs voeux
31/12/2009 06:46
Le secrétariat DLR du Pas de Calais et tous les délégués de circonscriptions ainsi que ceux du Nord, vous souhaitent une bonne et heureuse année 2010.
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Meilleurs voeux
31/12/2009 06:45
A l’aube du nouvel an, DLR14ème circonscription du Pas de Calais vous souhaite une bonne année 2010 pleine de joie, de réussites et de bonheur. Meilleurs vœux à tous, en particulier à Cimarès, Et Ceterum censéo Carthaginem esse delendam, Rafa, Caton l’ancien, What else, Commando D7, Anthéa, Olivier, DeGaulle for ever, Vive
la France – libre, résistance et Valmy qui nous auront accompagné par leurs commentaires toute cette année 2009. Merci à vous !
Bonne année à tous !
Le Comité local
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Commentaire de Olivier (31/12/2009 07:30) :
Meilleurs voeux 2010 au Comité DLR et au Comité local.
Bonne et heureuse année à Pascal et ses proches.
Santé, Bonheur et Prospérité à une jeune équipe pleine d'avenir.
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Commentaire de Caton l\'ancien (31/12/2009 07:41) :
Bonne année à vous tous !
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Commentaire de Manéthon (31/12/2009 08:36) :
Bien que ne vous m'ayez pas cité, je ne vous en veux pas pour autant
et vous transmet tous mes voeux de bonheur, santé et prospérité pour 2010.
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Commentaire de Anthéa (31/12/2009 08:38) :
Merci à vous, à mon tour je vous souhaite une bonne et heureuse année 2010.
J'espère partager encore de bons moments sur mon blog favoris.
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Commentaire de DLR1 Canal Historique (31/12/2009 08:40) :
Cher Manéthon, nous nous excusons pour cet oubli impardonnable. Merci de
vos voeux. Bonne et heureuse année à vous.
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Commentaire de What else ? (31/12/2009 09:41) :
Bonne année à tous et toutes.
Gardez pour 2010 ce Ton et cette Âme sur ce blog, n'en déplaise à
certains.
Mieux vaut se quereller à l'air libre, que d'être d'accord
derrière des barreaux.....
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Commentaire de commando D7 (31/12/2009 10:41) :
Bonne et heureuse année 2010 à vous tous.
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Commentaire de Valmy (31/12/2009 10:59) :
Merci à vous tous. Permettez à mon tour de vous transmettre mes voeux pour
la nouvelle année ainsi que mon "salut et fraternité".
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Commentaire de Patriote tout simplement (31/12/2009 13:19) :
Une bonne et heureuse année 2010. Lire votre blog me réchauffe le coeur.
Merci à vous.
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Commentaire de Christine (31/12/2009 15:23) :
Meilleurs Voeux 2010 à toute l'équipe DLR
Christine
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Commentaire de Résistant (01/01/2010 13:02) :
Bonne année a vous, que DLR puisse devenir un parti majeur pour cette année
2010 !
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Commentaire de cimares (03/01/2010 09:45) :
Resistant, bonne année !
Je débuterai par une question qui m'est venue à la lecture de vos
voeux: c'est quoi un parti majeur ?
Bien que n'étant pas de sensibilité gaullienne, j'ai toujours
apprécié le caractère généreux de ceux qui s'en réclament.
Par contre, j'ai souvent cherché la générosité réelle de ceux qui
tiennent les rennes du pouvoir et qui se réclament d'une idéologie
généreuse, souvent travestie par ceux-là même qui se servent du pouvoir.
Alors bonne année aux militants de DLR, que leur parti soit majeur ou
mineur, ils autorisent un dialogue sur un blog ouvert au débat.
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Commentaire de DLR1 (Canal historique) (04/01/2010 06:07) :
Cher Cimarés, j'entends pas majeur, l'influence de la pensée
Gaullienne dans la population qui tend aujourd'hui à se faire rare !
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LA FRANCE, EST-ELLE UNE REPUBLIQUE BANANIERE ?
31/12/2009 06:16
LA FRANCE EST-ELLE UNE REPUBLIQUE BANANIERE ?
D’Olivier Toscer
Broché
Edition : Larousse
Collection : A dire vrai
Edité le : 22/04/2009
EAN13 : 9782035839749
Présentation par l'éditeur
Relations troubles entre le politique et l'argent, réseaux d'influences opaques, hauts responsables intouchables, police au service du pouvoir, médias qui s'autocensurent... Et si
la France , à l'instar de certains pays d'Afrique et d'Amérique du Sud, était une République bananière ? En 10 chapitres, l'auteur, journaliste d'investigation, analyse les grandes affaires qui ont secoué
la Ve République et passe en revue les différents domaines où les interventions du pouvoir ont contribué à court-circuiter la démocratie.
Voir aussi :
http://bibliobs.nouvelobs.com/20090424/12150/la-france-est-elle-une-republique-bananiere
http://www.lesmotsontunsens.com/france-est-elle-republique-bananiere-4388
http://www.bakchich.info/Et-si-on-reparlait-de-l,07452.html
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Loge pas si franche que cela !
30/12/2009 14:02
ou
Quand l’Hôtel de ville devient une loge de copinage !
Nous nous sommes énormément questionnés quand au maintien d’individus à leur poste de responsables administratifs, cela malgré leur forte implication dans la faillite du système Dalongeville. L’étonnement et l’incompréhension nous gagnaient devant cette volonté affichée par la nouvelle municipalité de les maintenir ainsi à des postes décisionnaires clés. La logique ne pouvait laisser présager ce type de situation. Tous, et nous les premiers, pensions benoîtement qu’avec l’arrivée de la nouvelle équipe municipale, un changement dans l’encadrement administratif se serait naturellement instauré pour appliquer une politique radicalement différente de l’ancien système. Eh bien mal nous en a pris car rien ne changea !
Aujourd’hui, après certaines révélations qui nous ont été faites dans la coulisse, révélations relevant de milieux autorisés, nous comprenons mieux cet état de fait ! Ainsi, avons nous appris que l’actuelle équipe municipale possède parmi ses membres quelques individus issu d’un courant Franc Maçon relevant d’une loge locale. Et il s’avère dans le même temps que certains des personnels maintenus à leur poste seraient, eux aussi, des Francs Maçon issus du même courant.
Nous disons ici tout de suite que nous n’avons aucune animosité contre
la Franc Maçonnerie dans la mesure où celle- ci se borne a respecter les règles qu’elle s’est fixée. Beaucoup de loges sont en ce sens très honorables et méritent notre profond respect. Mais ici, dans notre secteur, il semblerait qu’un amalgame s’est créé entre Franc Maçonnerie et copinage. En effet, dans leur grande généralité, les membres de cette loge locale tendraient plus à pervertir les motivations initiales de
la Franc maçonnerie. C’est ainsi qu’ils s’arrogent le droit de défendre dans la coulisse leurs intérêts particuliers en usant d’une solidarité de caste et en jouissant de privilèges et prébendes qui nuisent à l’intérêt collectif. Bref, une conception aux antipodes des véritables valeurs de
la Franc Maçonnerie qui sont servir la liberté, le peuple,
la Nation et veiller au maintien de l’égalité et de la fraternité républicaine. Une nouvelle fois les Héninois(es) sont trompés au profit d’intérêts particuliers.
Le comité local
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Commentaire de maffia socialo-maconnique (30/12/2009 17:21) :
voila des mois que je dénonce sur tous les blogs de la ville, cette dérive,
(depuis l'élection de la liste apolitique -M.R.C. de l'A.R.)
le mot "frere"que je prononce,n'est compris que des initiés.
le chef d'orchestre de ce drame est toujours le meme..celui dont la
raison de vivre est la trahison..
enfin on reconnait ma vérité ..
mais comme le chantait guy béart.."le premier qui dit la vérité..il faut
l'executer".
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Commentaire de Cimares (30/12/2009 20:38) :
Ca sent le souffre !
D'autant que cela vient après votre article intitule "persevere
diabolicum".
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Commentaire de DLR1 Canal historique (31/12/2009 10:57) :
à Mafia socialo-maçonnique
Il ne tient qu'à vous de vous exprimer plus à loisir sur ce blog !
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Commentaire de complot (03/01/2010 10:20) :
Le complot judeo-maconique chère à l'extreme droite. Article honteux
de votre part
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Commentaire de DLR1 canal historique (04/01/2010 13:18) :
à Complot, relisez - nous, nous n'avons aucunement fait mention
d'un complot "judéo - maçonnique". Nous dénonçons simplement certaine
connivences et le détournement des aspirations originelles de la Franc
maçonnerie par une loge locale. Aucunes hontes donc à avoir ! En revanche,
vue la fréquence de vos commentaires peu aimables, il semblerez que nous
ayons visez justes !
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L'Euro sombre !
30/12/2009 11:14
L’échec de la monnaie unique
C’est un débat que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, mais au début des années 90, il y avait un débat important sur ce que devait être alors l’ECU, monnaie unique ou monnaie commune ? Devant l’échec patent de la monnaie unique, c’est un débat à réactiver.
L’euro, boulet pour la croissance
Pour un premier groupe de pays, le moins que l’on puisse dire est que l’euro a pénalisé la croissance, à mille lieues des promesses de lendemains qui chantent de la campagne pour le traité de Maastricht. Ce premier groupe comprend notamment l’Allemagne, la France et l’Italie. Il pourra paraître curieux d’associer l’Allemagne, championne des exportations, mais il y a points communs.
En effet, ce premier groupe se caractérise par une faible croissance depuis dix ans. Plus de 2% de croissance annuelle est désormais un bon résultat pour ces pays. Il faut dire que la politique monétaire suivie par la BCE était inutilement restrictive pour des pays à faible croissance et faible inflation. Et depuis quelques années, leurs exportations en dehors de l’Union Européenne sont pénalisées par la surévaluation de l’euro : les économistes estiment son cours normal entre 1,05 et 1,1 dollar.
Pire, ce groupe est handicapé par la politique économique de l’Allemagne, première puissance économique de la zone euro. Au milieu des années 90, craignant pour sa compétitivité, notre voisin d’outre Rhin a choisi de délibérément comprimer ses salaires, ce qui a déprimé sa demande intérieure et a donc pénalisé les exportations de ses voisins européens. En outre, la crise a bien montré que l’euro ne nous protégeait de rien puisque la zone euro est entrée en récession avant et plus fortement que les Etats-Unis.
L’euro, facteur de déséquilibres économiques
Mais si l’euro a été un boulet pour la croissance des trois premières économies de l’Europe continentale, la monnaie unique s’est également révélée désastreuse pour les économies de la périphérie de la zone. Dans un premier temps, on a pu croire que l’euro était un vrai plus. En effet, la convergence des taux longs vers les taux allemands a considérablement allégé le poids de la dette de ces pays. Mais cette convergence a pris fin en 2008.
Pire, la politique monétaire unique de la Banque Centrale Européenne ne s’est pas révélée plus appropriée à l’Irlande ou l’Espagne qu’à la France ou l’Allemagne. Au milieu des années 2000, les taux courts, à 4%, étaient trop élevés pour le couple franco-allemand, puisqu’ils correspondaient à la croissance nominale du PIB. En revanche, pour des pays comme l’Espagne, où la croissance nominale du PIB avoisinait les 7% ou l’Irlande, où elle était proche de 10%, les taux étaient beaucoup trop faibles.
Résultat, la monnaie unique y a provoqué une immense bulle financière et immobilière. L’effondrement économique actuel de ces pays montre bien que la croissance du passé était parfaitement artificielle et ne reposait sur aucun fondement solide. Pire, la récession qu’ils traversent rappelle la dépression des années 30 sans qu’ils puissent s’en échapper en dévaluant.
Quelque soit l’angle que l’on choisisse, quelque soit le pays que l’on prenne, il est désormais impossible de soutenir que la monnaie unique a apporté un quelconque bonus économique à l’Union Européenne. Il est grand temps de penser à une issue de secours…
De la monnaie unique à la monnaie commune
Le bilan de la monnaie unique est désastreux. Les tensions grandissantes provoquées par l’euro devraient conduire à moyen terme à son explosion. Est-ce à dire qu’il suffirait juste de revenir à la situation d’avant 1999 ou y aurait-il une voie médiane ?
La fin programmée de la monnaie unique
Non seulement le sujet n’est plus tabou, mais il est de plus en plus fréquemment évoqué par les médias. Tout dernièrement, c’est la situation économique de la Grèce qui a amené les chroniqueurs à se poser la question de la possible sortie d’Athènes de la monnaie unique. Même Christian Saint Etienne, dans son dernier livre, évoque la fin de l’euro. Bref, l’impensable pour les bien-pensants semble désormais pensable : l’euro n’est pas forcément là pour durer comme monnaie unique.
Plusieurs phénomènes pourraient provoquer une telle issue. Le premier serait une cessation de paiement d’un des membres de la zone euro qui ne serait pas secouru par ses pairs. Pour remettre les compteurs à zéro, le pays concerné pourrait être contraint de revenir à une monnaie nationale. Plus probable, la concurrence sans merci que se livrent les pays européens, en déprimant la croissance, pourrait pousser un pays à tenter de nouveau une aventure monétaire en solo.
Il faut dire en plus que l’euro est une des monnaies les plus surévaluées du monde, ce qui a accéléré un mouvement de délocalisations massif, à destination des pays asiatiques comme des pays d’Europe de l’Est. Résultat, la croissance est profondément handicapée dans toute la zone euro et la désindustrialisation se poursuit à un rythme accéléré. Il est donc probable qu’à un moment ou un autre, les électeurs d’un pays européen finissent par choisir un candidat opposé à la monnaie unique.
L’alternative de la monnaie commune
Mais cette fin ne voudra pas forcément dire fin de l’euro. En effet, en 1992, les économistes débattaient de l’opportunité de mettre en place une monnaie unique ou une monnaie commune, arguant que l’Europe n’était pas une zone adaptée au partage d’une seule monnaie. En effet, la zone euro ne correspond pas à une Zone Monétaire Optimale, que ce soit par le manque de mobilité des travailleurs, l’absence de convergence économique ou de budget central.
Dès lors, une solution pourrait consister à conserver l’euro comme monnaie d’échange entre pays européens, ainsi qu’avec les autres pays, ce qui en ferait un concurrent au dollar, tout en rétablissant des monnaies nationales qui rétabliraient de la souplesse dans le système. Ainsi, les taux d’intérêts à court terme pourraient être différenciés en fonction de la situation économique des pays, de même que le cours des monnaies, au lieu de la situation uniforme actuelle, qui ne convient à personne.
La fin de la monnaie unique ne représente pas forcément la fin de l’aventure, loin de là. L’Europe a seulement besoin d’une construction qui permette à ses Etats de mieux défendre leurs intérêts, en veillant à mettre fin à la surévaluation chronique de l’euro ainsi que d’un outil plus souple qui permette aux différents pays de mener des politiques adaptées à leur situation. Une monnaie commune pourrait parfaitement remplir ce rôle, surtout si les parités entre monnaies nationales sont négociées entre Etats.
La fin de la monnaie unique, ce n’est pas seulement un retour au franc. Cela peut être la transformation de l’euro en une monnaie commune au service des peuples européens et le retour à la souplesse des monnaies nationales, afin d’avoir une politique monétaire adapté aux réalités nationales.
Laurent Pinsolle
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Commentaire de Anthéa (30/12/2009 11:24) :
Il est plus que temps en effet de retourner à notre bon vieux Franc !
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